Cette recherche questionne l’articulation entre l’autonomie relationnelle conférée par les médias socio-numériques et le contrôle inhérent à la mesure de protection.
Il est organisé en 3 parties : la première précise les objectifs du programme, le questionnement et la méthodologie afférente. Ensuite il s’agit de rendre compte des pratiques familiales de correspondance numérique en montrant leur inscription dans l’expérience du placement (partie 2). Ces pratiques sont interrogées sous le prisme de l’action des professionnels en distinguant les professionnels garants de la décision de protection, ceux qui sont chargés de sa coordination, enfin les professionnels inscrits dans la prise en charge et l’accueil (partie 3).